Viol conjugal: gollnisch s'insurge
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bohwaz
le lundi 27 juin 2011 à 17h33
Je note aussi : le consentement concerne aussi les garçons, et évidemment pas que le sexe. C'est un sujet complexe en tout cas. (Sinon "ah ben j'ai pas regardé mon téléphone" est en général une bonne approche.)
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Popol (invité)
le lundi 27 juin 2011 à 17h46
C'est ce que je vais dire mercredi matin. Mais faut attendre d'être devant la personne pour le dire... :-)
Si on choisit l'évitement en attendant de pouvoir faire mieux, faut aussi ne pas s'emmêler les pinceaux.
Dire non, ça s'apprend mais avant ça, apprendre à se tirer de situations limites, c'est bien aussi: un goujat qui insiste lourdement, je le crois aussi capable de tirer une baffe ou un coup de poing.
Apprendre à ne pas s'y fourrer, c'est bien aussi.
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LuLutine
le lundi 27 juin 2011 à 21h00
lam
Et qu'elles ont tous les droits sur leur corps, notamment celui de dire non.
Et que ce non soit entendu et respecté. Non c'est non.
Mais, en réalité, pas mal de personnes sont sourdes apparemment et ça concerne pas l'éducation des femmes....
zina
ne pas avoir envie mais ne pas être écoutée,
Et oui....comme dit lam "y a du boulot !"
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Siestacorta
le mardi 28 juin 2011 à 01h51
Mwerf.
Brochure avec les accords trafiqués sur plus de deux pages = lecture plus difficile => tant pis, je serai pas féministe.
Pourtant le questionnement sur le consentement est hyper pertinent, mais au bout d'un moment, je lis plus, et je pense à respecter ou pas l'égo de l'auteur avant de penser au contenu.
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oO0
le mercredi 29 juin 2011 à 15h55
@ Lam, Zina,
je pense que la question du consentement est centrale tant ici qu'ailleurs. En tous cas, pour ma part, je pense que ce sera dans la manière de développer cette question que le sujet de ce FORUM trouvera sa reconnaissance et son acceptation sociale... ou pas.
La question de la sincérité dans les relations simultanées propre au polyamour ou encore, aux relations libres, non-exclusives ou ouvertes implique un degré de consentement encore plus flou. Il ne s'agit plus simplement d'un consentement direct, mais indirect des tiers concernés : est-ce que l'autre consent à la possibilité de consentir à d'autres relations que celle qu'il/elle consent avec soi ? Ce consentement indirect du tiers pose un problème du point de vue de l'individualité du consentement. Le consentement reste quelque part individuel, mais il ne dépend plus uniquement et directement de l'individu, mais également et indirectement des autres individus avec lesquels une relation est entretenue. Le consentement reste individuel, mais il s'ajoute une dimension relationnelle qui rend encore plus complexe une situation déjà complexe comme le montre la brochure proposée par Lam.
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pierre
le samedi 02 juillet 2011 à 20h19
le consentement est un sujet très vaste... à quoi consent-on vraiment ? dans le fond à pas grand chose, même pas à sa vie ! (au départ du moins). tout cela est lié au sujet du libre-arbitre, qui est fortement restreint dans nos sociétés modernes.
franchement si on doit se poser 100 questions avant la moindre interaction sociale, la terre va vite devenir invivable...
chercher une méthode qui permettrait d'être absolument sur du consentement de l'autre est une illusion, on ne pourra jamais être dans sa tête (et encore ce ne serait pas suffisant).
je pense qu'il faut accepter qu'il y ait une part de risque de contraintes dans les relations, sans les voir forcément comme un mal absolu qui laisserait des traumatismes indélébiles, et cela est valable dans les 2 sens (subie/faite)
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LuLutine
le samedi 02 juillet 2011 à 20h42
pierre
chercher une méthode qui permettrait d'être absolument sur du consentement de l'autre est une illusion,
Je suis d'accord avec ça, par contre les gens qui font semblant de ne pas entendre lorsqu'on leur dit "non", ou bien qui insistent en disant "tu dis non mais tu penses oui", c'est énervant !
Si on nous dit "non", il vaut mieux le prendre au premier degré, par précaution !
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(compte clôturé)
le lundi 29 avril 2013 à 13h06
ça n'engage que moi, mais c'est encre une polémique a nous coller un AVC.
Je pense que l'idée de départ était lié aux violence conjugales subit par le mâle bourré....
L'homme qui respecte sa féministe égocentrique ira chercher bonheur ailleurs.
Maintenant si la féministe égocentrique trouve Mr en plein action dans son plumard elle sera la première à demander le divorce ...
Message modifié par son auteur il y a 12 ans.