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De l'égoisme en amour

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sissi (invité)

le vendredi 26 février 2010 à 13h10

je parlais pas du present!!!!
j ai eu un bon psy tres cher mais tres bon!
je ne jouis pas de la souffrance de l autre mais du fait que j e peut l alleger juste en voyant qu il est la qu il existe qu il est humain et fragile aytant que moi!
la statue de pierre est tombée enfin et derriere se cache ou plutot je decouvre l homme
l homme que j aime parce qu il m aime et qui m aime parceque je l aime
avec ca on franchira des montagnes

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sissi (invité)

le vendredi 26 février 2010 à 13h19

l egoisme en amour en un mot est totalement hors sujet!
ca doit etre un partage un voyage a deux
si tu est heureux je le suis pas de jalousie ni d egoisme
ca ne peut pas et ca ne doit pas etre compatible!
sauf pour les mon cheri(clin d oeil a l interessé)

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Siestacorta

le vendredi 26 février 2010 à 13h25

Sissi
moi je dis que si on a la clef de la souffrance de l autre et qu a notre niveau on peut y faire qq chose on ne souffrira plus de sa souffrance !
toujours est il qu il faut trouver la cause l analiser et la juguler.
le mienne a coté c est du pipeau
j ai les clefs et j ai du mal a trouver la serrure !

Ben sissi, heureusement qu'Eric suit...
Tu disais hier qu'on était pas facile à suivre avec les références à la philo.
Mais tes deux messages, pourtant écrit très simplement, je n'ai pas compris ce que tu voulais dire. Enfin si, mais je ne voyais pas à quoi tu faisais référence, ou si tu voulais en venir quelque part ?

On a la clef de la souffrance de l'autre... Ben... Oui. Mais si la clé c'est que je dois l'aimer pour qu'il arrète de souffrir, et que je ne l'aime pas, alors je prend la clé des champs.
Tout le monde souffre, la plupart s'en remettent, et rester dans le coin pour participer, parfois... C'est ajouter une souffrance.

Donc : je peux être coupable des sentiments de l'autre, si lui ou moi souhaitons absolument désigner un coupable. Mais je peux décider, au moment où tenir compte de ses sentiments se ferait au détriment des miens, de ne pas prendre plus de responsabilité sur mes épaules.

Message modifié par son auteur il y a 16 ans.

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Siestacorta

le vendredi 26 février 2010 à 13h36

Sissi
l egoisme en amour en un mot est totalement hors sujet !
ca doit etre un partage un voyage a deux

Ca, c'est ta forme d'amour.
Il y a des choses que je ne veux pas partager (ma famille, assez mindfucking pour que ça reste mon problème), d'autres que je ne veux pas partager (mon goût pour la pop anglaise, si tu suis pas, c'est pas grave).

sissi
si tu est heureux je le suis pas de jalousie ni d egoisme

ET moi quelque fois, je suis malheureux en même temps que l'autre est heureux, e n'est pas lié au départ. Et que je voudrais que l'autre sache préserver son bonheur de mon malheur, justement pour que je puisse en jour par la suite. Je veux suis égoïste, je veux que l'autre ne se mêle de mon bonheur ou malheur que si il sait que je suis prêt à partager. Et je le veux égoïste de parfois ne pas tenir compte de moi.

Pour qu'aucun de nous ne soit obligé de partager, pour qu'on ne puisse pas se reprocher de ne pas avoir partagé quand on ne le pouvait pas.

Message modifié par son auteur il y a 16 ans.

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(compte clôturé)

le vendredi 26 février 2010 à 16h18

sissi
l egoisme en amour en un mot est totalement hors sujet !
ca doit etre un partage un voyage a deux
si tu est heureux je le suis pas de jalousie ni d egoisme
ca ne peut pas et ca ne doit pas etre compatible !
sauf pour les mon cheri(clin d oeil a l interessé)

Tu sais, si c'était aussi simple, on serait pas là à en discuter. On a tous en tête notre idéal, mais comme y'en a beaucoup, d'abord on fait avec la multiplicité. Tu nous parles du tien, OK, je vois, je comprends, mais ce n'est pas le mien.

Mon idéal à moi, c'est que comme c'est indéniable que de si affreux sentiments comme jalousie, égoïsme et Cie existent bel et bien, faut faire avec; mon idéal, toujours, c'est de ne pas lâcher le morceau et de travailler à les comprendre, parce que ça peut pas être meilleur, mais juste moins pire.

Message modifié par son auteur il y a 16 ans.

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ERIC_48

le vendredi 26 février 2010 à 16h31

Mais Sissi, envisages tu de devenir poly ou cherche tu juste à discuter avec nous ?
Enfin, tu n'es pas obligée de répondre, bien sûr, c'est juste pour savoir (vu que tu parles d'aventure à deux).
Ici, il y a souvent des aventures à 3, 4 voir plus.
Tu le sais, je suppose, mais qu'en penses tu ?

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sissi (invité)

le vendredi 26 février 2010 à 19h55

pour etre heureux a plusieurs il faut deja etre en accord a deux et la la moitié du chemin est faite
ensuite ce n est que plus facile du moins on le pense
venir parler ici est assez simple on a le temps de reflechir de relire de corriger
c est le live qui m effraie un peu
pour arriver a gerer le pomy il faut quand meme un minimum de psychologie et ca c est pas donné a tout le monde
disons que je desire etre une polylente
eric comprend bien sur mais j espere qu il n y a pas que lui!
a bon entendeur......

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sissi (invité)

le vendredi 26 février 2010 à 19h56

c est pas une seule clef qu il me faut c est un passe partout

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Tchu

le vendredi 26 février 2010 à 20h07

Passe-Partout est poly ?

(je suis déjà dehors)

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(compte clôturé)

le vendredi 26 février 2010 à 20h12

Siestacorta

On a la clef de la souffrance de l'autre... Ben... Oui. Mais si la clé c'est que je dois l'aimer pour qu'il arrète de souffrir, et que je ne l'aime pas, alors je prend la clé des champs.
Tout le monde souffre, la plupart s'en remettent, et rester dans le coin pour participer, parfois... C'est ajouter une souffrance.

Donc : je peux être coupable des sentiments de l'autre, si lui ou moi souhaitons absolument désigner un coupable. Mais je peux décider, au moment où tenir compte de ses sentiments se ferait au détriment des miens, de ne pas prendre plus de responsabilité sur mes épaules.

Là où ça ne colle pas, c'est qu'on n'est pas coupable ou même responsable des souffrances de quelqu'un, dis-je. On est tout juste des catalyseurs, des réactivateurs de quelque chose qui était mal en point avant qu'on débarque dans le paysage. Ce serait vraiment se la péter que de croire qu'on pourrait être la cause des souffrances de quelqu'un... avoir autant d'impact soi-même sur une personne... quel orgueil.

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Profil

Drya

le vendredi 26 février 2010 à 20h51

Euh, perso je vois plutôt les choses dans le sens où tout le monde à un effet sur les autres, volontairement ou non. Après c'est l'autre qui va réagir en fonction ou non, ou plutôt il y a interaction qui peut être forte ou nulle.

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Profil

Siestacorta

le vendredi 26 février 2010 à 20h53

Clementine
'on n'est pas coupable ou même responsable des souffrances de quelqu'un, dis-je. On est tout juste des catalyseurs, des réactivateurs de quelque chose qui était mal en point avant qu'on débarque dans le paysage.

Heu... Tu es en train de me dire que mon histoire amoureuse préexiste à mes rencontres ?
Certes, ma sensibilité est déjà là. Mais dire que la personne ne joue pas de rôle sur l'effet qu'elle me fait... Pas un peu solipsiste sur les bords, ça ?

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(compte clôturé)

le vendredi 26 février 2010 à 21h32

J'ai écrit ça :

"On est tout juste des catalyseurs, des réactivateurs de quelque chose qui était mal en point avant qu'on débarque dans le paysage."

On peut l'interpréter de bien des manières. Mais ce qui est sûr, c'est que personne ne doit se sentir responsable (limite coupable) de réactiver, par sa seule présence et interaction, quelque chose qui en effet préexistait, comme terrain sensible.

Et je postule en effet, que si des gens se rencontrent et entrent en interaction de leur propre libre-arbitre (on peut se croiser sans que ce soit délibéré, mais choisir d'entamer une relation), alors c'est qu'ils se sentent en terrain connu, déjà pressenti, sinon "déjà-vu". Rassurant même si c'est désagréable, car on y a déjà eu affaire, et on sait quoi faire.

Message modifié par son auteur il y a 16 ans.

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Siestacorta

le vendredi 26 février 2010 à 21h38

Oui. Mais l'influence du passé ne fait pas tout le présent. Non seulement on a vécu des choses ressemblantes, mais on a évolué. L'autre de même... Même si ce n'est qu'au présent, même en écartant ce sur quoi on ne peut rien... On est responsable, je crois.

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(compte clôturé)

le vendredi 26 février 2010 à 21h44

On a une incidence, mais aucune responsabilité au sens où l'autre personne choisit d'être en interaction avec nous.

Ca joue aussi dans l'autre sens: ça permet de dédouaner l'autre de nous faire souffrir, avec ou sans intention, et de passer à un autre niveau de compréhension de ce qui se joue.

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Profil

Siestacorta

le vendredi 26 février 2010 à 21h48

Si ça te va pas ce que je fais, toi tu pars et moi je me remet pas en question ?

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(compte clôturé)

le vendredi 26 février 2010 à 21h59

Non, je reste si je vois que je peux progresser (y'a des chances, si ce qui se passe me donne envie de me barrer - à quoi bon sinon?), conjurer une peur, avoir une chance de ne pas faire comme d'hab', passer par-dessus une croyance; mais il faut que tu sois d'accord aussi, car il y a trois "choses" qui peuvent avancer: toi, moi, la relation.

Seule je ne peux bosser que sur moi. Avec toi, sur moi et la relation.

Bon investissement, de rester! Et courageux.

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(compte clôturé)

le vendredi 26 février 2010 à 22h13

Mais parfois, il est plus judicieux de se séparer, si la souffrance compromet trop de choses.

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ERIC_48

le vendredi 26 février 2010 à 23h08

A mon avis, vous avez tous les deux raisons.
Je ne suis pas sûr que ces deux visions soient incompatibles.
Et en plus, si Titane était là, il aurait des choses à nous dire sur l'investissement, notion qu'il rejette en amour. Et ce ne serait pas incompatible non plus, à mon avis. J'ai l'impression que tout ça est vrai en même temps.
1) On revit des choses de l'enfance, c'est indéniable
2) On vit les choses du présent, c'est indéniable aussi
3) L'investissement est une volonté de changer (soit les autres, soit soi-même, soit les deux), mais ce n'est pas forcément une facette de l'amour.

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Profil

ERIC_48

le vendredi 26 février 2010 à 23h11

Tchu revient dedans, on se fera tout petit !

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