Les avis positifs sur le polyamour
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Siestacorta
le mercredi 01 mai 2024 à 15h19
Début d'un article de témoignage et de questionnement de la place de parent et de metamour de parent face aux enfants dans un polycule
Caterina, Marc, Amelie et leurs familles recomposées sur Mollo.urbania
Les trois enfants de Caterina étaient adolescents lorsqu’elle a rencontré Marc, lui-même papa de trois enfants un peu plus jeunes. Aucun des deux n’avait encore fait l’expérience du polyamour. Toutefois, une chose était certaine : ils n’avaient pas envie de se lancer dans une nouvelle relation monogame. Tous deux ont d’abord formé un couple ouvert. Caterina a ensuite développé une relation avec un autre homme, Fabrice et son couple s’est transformé en relation polyamoureuse.
Amélie étudiait à l’université lorsqu’elle a rencontré un couple de voisins dans sa résidence étudiante, Éloïse et Max, qui étaient en relation depuis plusieurs années. Ensemble, ils avaient un bébé, Charlie. Aucun d’entre eux n’avait encore fait l’expérience du polyamour, bien qu’Amélie cultivait un intérêt pour le sujet.
Lorsque Éloïse et Max ont commencé à discuter d’ouvrir leur couple, ils ont tout de suite pensé à Amélie. Le couple et leur amie ont d’abord formé une triade, avant d’évoluer vers une relation en V*.
Dans le polycule d’Amélie, annoncer le plus tôt possible la nouvelle à Charlie, 3 ans, apparaissait comme une évidence. « Les enfants le sentent », témoigne la jeune femme. « Comme on a rapidement habité ensemble, ça allait de toute façon bouleverser sa vie. » L’annonce n’a toutefois pas semblé perturber Charlie. Selon Amélie, cette réaction s’explique par le fait qu’il n’avait pas encore établi de modèle de référence.
https://mollo.urbania.ca/article/conjuguer-famille...
Message modifié par son auteur il y a un an.
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Siestacorta
le mercredi 01 mai 2024 à 15h28
artichaut
https://www.slate.fr/story/266372/sexo-couple-ineg...Je sais pas si c'est très « positif », le polyamour comme palliatif au sentiment de manque affectif ou sexuel.
Dans la conclusion, il y est par exemple question de personnes qui se supportent ou n'ont pas trouvé de solution.
Je crois que dans l'extrait que je citais, "supporte" est probablement une traduction imparfaite de "supports" - je pense que "soutient" aurait fonctionné.
Le non-exclusivité éthique n'est effectivement pas un palliatif au sentiment de manque, et pas une solution. C'est juste une possibilité niée ou rejetée par la norme amoureuse. Dans la situation de déséquilibre des besoins dans un couple, c'est pour moi positif de voir que dépasser l'exclusivité peut être satisfaisant pour certain.es, notamment quand c'est explicité et consenti.
Message modifié par son auteur il y a un an.